Ici, en __________, il est très facile de __________. Pour cette raison, il faut faire attention aux __________ et aux __________, qui, vraiment, pullulent. Il ne fait pas s'en faire, les __________ et la __________ du __________ sont là pour nous __________. Bien entendu, la __________ peut nous __________. Il ne faut pas se __________ pour autant. «Dans peu de __________, je __________ à la __________», qu'on se dit. Ça __________. Ça permet de __________ le __________ de __________.
Tout ce qui nous __________ chez nous, ça, nous devons le __________, au risque de __________. Ne jamais __________, ne jamais __________, ce sont là des __________ qui ne risquent pas de nous __________. À moins de __________ aux __________en __________ ou de __________ le tout à la prochaine fois.
C'est __________. Ça peut __________. La plupart du temps, ça __________ en __________. C'est pourtant là où nous __________ réellement nous __________. Sans nos __________, sans toute cette __________, comment y échapper? Comment __________?
Des fois, je me dis: «Robert, __________ la __________ en __________».
Des fois, ça __________.
Essayer de faire mieux... c'est de l'art__________.
RépondreSupprimerIci, en Beauce il est très facile de s’ennuyer. Pour cette raison, il faut faire attention aux anges et aux démons, qui, vraiment, pullulent. Il ne faut pas s'en faire, les habitudes et la stabilité du quotidien sont là pour nous endormir. Bien entendu, la vie peut nous surprendre. Il ne faut pas se stresser pour autant. «Dans peu de temps, je serai à la maison», qu'on se dit. Ça va. Ça permet de prendre le temps de vivre.
Tout ce qui nous arrive chez nous, ça, nous devons le voir, au risque de s’ennuyer. Ne jamais oublier, ne jamais penser, ce sont là des choses qui ne risquent pas de nous arriver. À moins de rire aux larmes en gang ou de remettre le tout à la prochaine fois.
C'est vrai. Ça peut durer. La plupart du temps, ça vient en bûchant. C'est pourtant là où nous trouvons réellement nous autres. Sans nos craintes, sans toute cette pression, comment y échapper? Comment faire?
Des fois, je me dis: «Robert, prend la vie en main».
Des fois, ça chie.
Excellent! Bravo!!! J'attends avec impatience les autres propositions. Attention, la barre est haute!
RépondreSupprimerVoici ma petite version, sans prétention...
RépondreSupprimerIci, en vélo, il est très facile de planter. Pour cette raison, il faut faire attention aux nids de poule et aux crevasses, qui, vraiment, pullulent. Il ne faut pas s'en faire, les guidons et la roue du dérailleur sont là pour nous soutenir. Bien entendu, la chienne peut nous prendre. Il ne faut pas se morfondre pour autant. "Dans peu de jours, je passe à la librairie", qu'on se dit. Ça amuse. Ça permet de faire le clown de service.
Tout ce qui nous manque chez nous, ça, nous devons le trouver, au risque de le voler. Ne jamais trembler, ne jamais hésiter, ce sont là des conseils qui ne risquent pas de nous trahir. À moins de parler aux animaux en mandarin ou de remettre le tout à la prochaine fois.
C'est dangereux. Ça peut tuer. La plupart du temps sa tue en 30 secondes. C'est pourtant là où nous pouvons réellement nous réaliser. Sans nos amis, sans toute cette gang, comment y parvenir? Comment triompher?
Des fois je me dis: "Robert, ferme la bouche en mangeant".
Des fois, ça indispose.
oups...
RépondreSupprimerça tue en 30 secondes
Roulette, on jurerait que tu as mis la main sur l'original.... Mmmm
RépondreSupprimerOuais... je sais...
RépondreSupprimerRobert et moi, c'est comme si on avait un peu le même cerveau!!
Ici, en Sibocie il est très facile de déprimer. Pour cette raison, il faut faire attention aux cadres et aux coquillages qui, vraiment, pullulent. Il ne fait pas s'en faire, les interrupteurs et la neige du mercredi sont là pour nous requinquer. Bien entendu, la mélancolie peut nous saisir. Il ne faut pas se fourvoyer pour autant. «Dans peu de temps, je serai à la maison. » qu'on se dit. Ça ira. Ça permet de neutraliser le bourdon de Beauce.
RépondreSupprimerTout ce qui nous charme chez nous, ça, nous devons le cultiver au risque de blesser. Ne jamais transiger, ne jamais s’abaisser, ce sont là des décisions qui ne risquent pas de nous décevoir. À moins de croire aux bigorneaux en cornettes ou de repousser le tout à la prochaine fois.
C'est ainsi. Ça peut évoluer. La plupart du temps, ça stagne en compote. C'est pourtant là où nous aimons réellement nous retrouver. Sans nos soucis, sans toute cette pression, comment y échapper? Comment rêver ?
Des fois, je me dis: «Robert, tire la chevillette en douceur ».
Des fois, ça baigne.
Bravo, j'en _____ encore!!!
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